I. LE GRAND PAN EST MORT
L’historien Michelet le constatait déjà à la fin du XXVIIIème siècle : avec l’avènement du christianisme et la disparition du paganisme s’effilochaient les liens de l’Homme avec la nature.
Depuis l’Antiquité, les Païens vivaient, en effet, au seul rythme de la nature dont ils célébraient le cycle : les solstices, les équinoxes, les transitions saisonnières… et, dépourvus d’outils techniques, ils avaient une conscience et une connaissance innées de la nature.
Pour s’imposer face à ses coutumes séculaires et toujours très respectées, l’Eglise a substitué aux fêtes païennes, liées à la nature, et aux traditions saisonnières, des fêtes qui en conservaient les thèmes mais qui les liaient à la vie d’un homme.
Ainsi, Yule, solstice d’hiver annonçant le retour de la lumière, s’est vue remplacer par Noël célébrant la naissance de Jésus. Ostara, annonçant le Printemps et la renaissance de la nature, s’est vue, elle, remplacée par Pâques, la résurrection de Jésus...
D’autre part, Dieu parla plus haut et, affirma l’Eglise, plus juste que l’instinct naturel des hommes, vil et bas selon elle, et leur intime connaissance des choses et d'eux-mêmes, qu’ils ne consultaient désormais plus, fut oubliée.
Ainsi, les fêtes, autrefois liées à la nature et aux mouvements naturels, se virent liées à un seul homme, et l’instinct naturel fut remplacé par l’implacable voix de Dieu. C’est ainsi que l’être humain fut séparé de la nature, de sa nature, et que l’on put clamer : « Le grand Pan est mort. »
II. LE SIECLE DES LUMIERES
Le grand Pan survit pourtant. Beaucoup restèrent attachés et fidèles aux traditions païennes préchrétiennes, aussi l’Eglise fit-elle de Pan, divinité grecque aux pieds de bouc, une divinité maléfique qu’elle appela Satan. Les Païens furent diabolisés, les sorcières pourchassées et décimées, les cultes païens délaissés ou pratiqués en secret à l’abri des regards « inquisiteurs », et la nature, au sens large, peu à peu abandonnée.
Puis le Siècle des Lumières éclaira l’Europe au XVIIIème siècle, et magnifia l’esprit, l’intellect et la raison. Les traditions païennes qui, discrètes, subsistaient furent moquées et reléguées au rang de ridicules superstitions, et la nature désacralisée et méprisée, éloignant un peu plus d’elle l’Homme.
III. LA REVOLUTION INDUSTRIELLE
Quant à l’évolution technique – qui n’est qu’un chemin parmi tous les chemins que nous aurions pu prendre au moment, notamment, de la Révolution Industrielle du XIXème siècle -, elle a contribué, elle aussi, à couper notre lien à la nature et à notre instinct naturel.
Chaque objet technique, technologique, numérique… est une béquille que l’on utilise et qui nous fait oublier un savoir naturel ancestral, une compétence innée séculaire. Nous devenons, par ce que certains appellent « le progrès », des êtres sans la moindre ressource et nous perdons toute autonomie. Nous accordons toute notre confiance à la machine qui agit pour nous et, désormais, pense pour nous, une machine qui, de plus en plus, capture notre attention, vole notre temps, nous éloigne d’autrui et aspire notre essence. Bref, une machine qui nous aliène.
Quant à la nature, elle est sacrifiée, décimée, au profit de cette même machine.
IV. LES CONSEQUENCES AU XXIème SIECLE
En dépit des efforts de l’Eglise, des respectables penseurs et des ambitieux technocrates, malgré un long et méticuleux travail de sape - volontaire ou involontaire -, les traditions païennes ont perduré au fil des siècles et, j’en atteste, perdurent encore et connaissent même aujourd’hui un certain engouement.
Cependant, après des siècles de calomnie et de discrédit, ces pratiques dites aujourd’hui « spirituelles » attisent la moquerie, parfois la méfiance, et beaucoup tendent à considérer les Païens d’aujourd’hui – ou Néopaïens –, ces personnes fidèles à une sagesse ancestrale, comme des personnes originales, illuminées, ou, à tort mais fidèlement à la pensée chrétienne, des satanistes.
Quant à la nature, elle est désormais considérée comme un bien marchand, et c’est l'argent qui la lie à l’Homme.
1. Démystifiée et déconsidérée, la nature est devenue un bien marchand…
… et elle voit aujourd’hui ses forêts décimées, ses sols dénaturés, son ciel pollué, les êtres vivants qu’elle abrite éradiqués. Nous y suffoquons, tombons malades et pleurons les disparitions de plus en plus nombreuses d’animaux et de végétaux… mais sa spoliation et sa destruction restent profitables.
L’Homme, pourtant enfant de la Terre et du Soleil, séparé corps et âme de la nature à laquelle il vouait ses cultes, aujourd’hui la détruit et la vend sans égard pour elle, pour ceux qu’elle abrite… et pour lui-même. L’Homme semble renier la nature dont il est le fruit.
2. La nature arrachée au quotidien de l’Homme, celui-ci se détache de lui-même…
… et ne se connaît plus, ne connaît plus son corps, n’entend plus ses sensations, ne sait plus s’écouter. Ayant perdu cette intime connaissance, il ne peut plus prendre de décisions pour lui-même, et se voit contraint de s’en remettre à une tierce personne, au groupe auquel il appartient, à tout élément extérieur à lui - aux publicités qui lui disent quoi manger, aux médias qui lui disent quoi penser, au Gouvernement qui lui dit comment vivre. Il devient dès lors manipulable. Déconnecté de lui-même, il en vient à croire que les réponses à ses questions et les solutions à ses problèmes viennent de l’extérieur alors qu’elles sont à l’intérieur de lui, alors qu’il faut les chercher dans sa propre nature.
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Ajoutez à cela une « béquille » technologique (voir le paragraphe La Révolution Industrielle), et l’Homme est entièrement soumis.
Exemple de personnes séparées du naturel
Qui, par exemple, alors que je m’écris : « J’ai faim ! », me répond : « Mais non, tu n’as pas faim, il est seulement 11h30 ! ». La faim est pourtant bien un phénomène naturel, intérieur, qui dépend de différents facteurs internes. Si j’ai faim, j’ai faim que ce soit 11h30, 12h, 12h30 ou 15h ! Je n’ai pas faim en fonction d’une horloge extérieure, mais bien en fonction de toute une machinerie interne et naturelle.
Qui, encore, si je dis : « J’ai froid ! », me répond : « Non, le thermomètre affiche 21° » Certes ! mais ce n’est pas le thermomètre qui peut décider pour moi si j’ai froid ou pas, quand j’ai froid ou quand j’ai chaud ! C’est une sensation interne, encore une fois.
3. La nature arrachée des rites de l’Homme, une place se fait pour tout autre culte…
… pouvant s'avérer jaloux et exclusif, excluant toute pratique et toute idéologie différentes.
V. DE LA NATURE A LA SCIENCE
Ainsi, depuis l’avènement du Christianisme, l’Homme se détourne de la nature dans laquelle il vivait harmonieusement et qu’il vénérait. Au fil des siècles, il délaisse Dieu lui-même, et s’en remet désormais entièrement à la Science jusqu’à l’élever au rang de dogme.
Avez-vous constaté, vous aussi, que les solutions naturelles sont, depuis plusieurs années, diabolisées et rejetées ? Les naturopathes, les coaches en développement personnel et autres praticiens dits « alternatifs » ou « parallèles » sont discrédités dans les médias. Aujourd’hui, ce sont certains produits naturels comme les huiles essentielles qui sont interdits.
Par ailleurs, ne vous a-t-on jamais lancé, et plus encore ces derniers mois : « Oui, mais la science dit que… ! », « Tu ne peux pas aller à l'encontre de la science ! » comme des arguments imparables mettant fin à tout échange ? La parole de la science semble à présent, en effet, sacrée comme le fut autrefois la nature, et toute opinion différente condamnée comme le fut autrefois l'hérésie.
A-t-on aujourd’hui oublié que la nature est aussi de la science ? Les forces et les lois qui la régissent (attraction, gravité, etc.), les énergies, les vibrations, les ondes, les phénomènes naturels, c’est de la science : une science naturelle dont relèvent la physique, la chimie, la biologie, etc.
A-t-on également oublié que la science, cette même science que certains brandissent comme la solution à tout problème, s’est largement inspirée de la nature, et qu’elle est même née de la nature ?
Ainsi, c’est à l’opposition d’une science synthétique à une science naturelle que l’on assiste aujourd’hui, la première étant la fille de la seconde, la première étant aujourd’hui vénérée comme le fut autrefois la seconde. Mais, comme toute croyance élevée au rang de dogme et se voulant exclusive, elle ne peut aller sans d’inquiétantes conséquences.
1. La nature reléguée au profit de la science, et la science élevée au rang de la croyance, une effrayante perspective…
… et un chemin qui conduit à nouveau, je le crains, à de nouvelles croyances belliqueuses. En effet, l’évolution scientifique est telle aujourd’hui qu’elle apparaît comme la réponse à tout et, de ce fait, fait de la science un véritable dogme. Il faut croire en la science et s’en remettre à elle ! C’est une opinion, une croyance qui prend de plus en plus de place et tend à voir son adversaire, la nature, comme gênante.
D’une part, il nous est intimé de croire – et de nous convertir – à la science comme autrefois à l’Eglise : aveuglément et docilement. Et tout comme l’Eglise a autrefois diabolisé le paganisme pour s’imposer, aujourd’hui la science diabolise la nature pour s’imposer, laissant entendre à l’Homme que le naturel est sale, malsain et faillible alors que la nature est un merveilleux et parfait rouage.
D’autre part, on fait dire à la science ce que l’on veut – selon ce qu’on attend des peuples - comme autrefois on faisait dire à Dieu ce qu’on voulait - pour obtenir ce que l’on souhaitait. Quel était le but à l’époque ? Conformer les gens, les contrôler par la peur et, en l’occurrence, la peur de l’Enfer : chacun était tenu de respecter des règles précises – qui nous paraissent d'ailleurs bien absurdes aujourd’hui…
La science dogmatique d’aujourd’hui poursuit-elle un but ? Je l’ignore… mais je vois, grâce à mon intérêt pour l’Histoire, mes lectures et études sur le paganisme et la chasse aux sorcières, qu’il y a des similarités surprenantes et effrayantes entre l’avènement du christianisme et, par exemple, la « crise » que l’on traverse actuellement où jamais encore la nature n’avait été aussi méprisée et la science glorifiée.
Ainsi, le Diable n’est plus cette créature cornue aux sabots de bouc, vile créature païenne, mais un virus qui s’immisce sournoisement dans nos relations familiales et amicales et nos activités de loisirs et festives – nos sabbats modernes. La solution pour vaincre le mal qui insidieusement s'introduit dans les êtres n'est plus la conversion au christianisme et le baptême des jeunes enfants, mais un vaccin salutaire et salvateur.
Lisez mon article XVIIème siècle – XXIème siècle – Analogies pour découvrir les analogies (liste non exhaustive) entre la «possession des Démons» au XVIIème siècle et la crise «sanitaire» actuelle
La science est donc bien, à l’heure actuelle, présentée comme une religion, une religion jalouse et se voulant exclusive et qui, comme telle, – et l’Histoire en atteste – peut s’avérer dangereuse pour toute personne qui oserait prétendre à un autre mode de vie, autrement dit, pour tout hérétique.
2. La science synthétique en guerre contre la nature
Sûrs de la supériorité et de l’infaillibilité de la science, et mus par leur orgueil, leur mégalomanie et leur obsession tenace à supplanter la nature, certains s’acharnent à imposer cette science synthétique dans la vie de chacun et jusque dans son corps. Aveuglés par un sentiment de toute puissance, ils prétendent injecter cette science synthétique en chacun jusqu’à en corrompre non seulement son intégrité mentale mais aussi son intégrité physique. Le choix de son mode de vie n’est plus envisageable : il faut s'y contraindre ou être puni.
La Renaissance à brûlé les hérétiques ; le XXIème siècle relègue les « réfractaires » à ce nouvel ordre contre-nature au ban de la société. Les fanatiques de la science synthétique du XXIème siècle sont donc bel et bien en guerre contre les adeptes de la nature et du naturel qu’ils musellent, bafouent… et diabolisent.
Mais les partisans d’une vie plus proche de la nature, d’un mode de vie plus naturel, sont légion. Si certains se contraignent à cette science invasive, d’autres, forts de leurs convictions, se battent pour une vie plus naturelle. D’autres encore tergiversent, et c’est peut-être davantage à ceux-là, qui doutent encore, que s’adresse le prochain chapitre.
VI. L’EVOLUTION SCIENTIFIQUE QUE NOUS CONNAISSONS, UN PROGRES ?
1. La science déséquilibre, la nature régule – Un déséquilibre environnemental
J’entends souvent : « Grâce aux progrès scientifiques, et notamment à ceux de la médecine, on sauve des vies ! ». Je réponds : « Pas exactement. On ne sauve pas des vies ; on ne fait que repousser des morts inexorables ». Et, ce faisant, les « progrès » de la science créent un déséquilibre là où la nature, elle, régule.
En effet, on parle aujourd’hui de problème démographique : nous serions trop nombreux sur Terre, et cela engendrerait des problèmes, notamment écologiques.
Les « progrès » de la médecine sont très heureux à l’échelle individuelle lorsqu’un proche ou soi-même est « sauvé », guéri, soigné… mais, il faut bien l’avouer, c’est un dérèglement à l’échelle de la planète.
2. La science déséquilibre, la nature régule – Un déséquilibre intérieur
Par ailleurs, on « soigne » des maladies – soigner ne signifiant pas guérir – qui ne sont pas des maladies naturelles mais des maladies environnementales dues aux « progrè s» technologiques et leurs dommages collatéraux : pollution, empoisonnement des sols avec des produits synthétiques et toxiques, du ciel, des eaux, des corps par une alimentation transformée néfaste…
… autant de maux que le corps peine à gérer car ces produits qu’il ingère et qu’il respire ne sont pas naturels.
Ainsi, la science progresse pour soigner des maladies qu’elle a elle-même créés ou, de façon plus générale, pour réparer des erreurs qu’elle a commises et qu’elle accumule ! La science progresse dans un cycle infernal mortifère et, ironiquement, absurde.
Cessons de pervertir la science, et réconcilions-la avec la nature !
VII. LES MISES EN GARDE
Hubert Reeves, Claude Lévi-Strauss, Boris Cyrulnik, J.R.R. Tolkien... Auteurs, conférenciers, scientifiques eux-mêmes… sont nombreux à déplorer et à nous mettre en garde, depuis des décennies, contre une séparation d’avec la nature.
VIII. MA MISSION
Il m’apparaît donc – je le constate avec effroi et le déplore moi aussi – que nous vivons aujourd’hui non seulement séparés de la nature, mais aussi contre (la) nature.
Auparavant, je pensais que l’Homme était simplement condescendant, qu’il commettait des erreurs par méconnaissance, qu’il pensait, par ignorance prétentieuse ou par prétention un peu naïve, pouvoir « faire mieux » que le magnifique rouage naturel.
Actuellement, mon ressenti, l’interprétation que je fais de ce que j’observe, est que ce n’est pas par naïve condescendance que certains s’acharnent contre la nature, mais avec une réelle volonté d’aller au-delà d’elle comme si elle était devenue gênante, l’ennemie à abattre.
Je partage l’idée de Hubert Reeves – et d’autres : l’Homme mène une guerre contre la nature, poussé par son instinct de chasseur, de conquérant, et mû par un dessein que j’ignore. Et, au moment où notre nature est attaquée en son cœur, en son ADN, nous vivons le paroxysme de cette guerre séculaire qui n’a que trop duré.
Or, la nature est un magnifique rouage – j’utilise l’image de l’engrenage où chaque élément de la nature est représenté par une roue dentée qui en entraîne une autre et ainsi de suite, et qui permet de maintenir l’équilibre. Ce système suit invariablement son cours… sans intervention de l’Homme.
On dit souvent : « La nature reprend toujours ses droits » parce que, dès qu’il y a un petit caillou dans l’engrenage, elle l’expulse. La fonction de la nature, c’est réguler, c’est de revenir à un équilibre fonctionnel.
Il est une autre citation qui m’inspire et m’a véritablement saisie la première fois que je l’ai entendue. Elle me suit depuis 1993. C’est une réplique de Jeff Goldblum interprétant le rôle de Ian Malcolm dans Jurassic Park : « La vie trouve toujours un chemin ».
Et je fais confiance à cette idée : la vie retrouvera son chemin.
***
En tant que – autoproclamée avec humour - Sorcière du XXIème, ma mission est de ramener chacun à lui-même, de le réconcilier avec sa nature, de tisser le lien entre lui et ses sensations, ses désirs, ses valeurs, de l’amener à se connaître lui-même pour recouvrer sa liberté de penser, de croire, sa liberté d’être lui-même, pour retrouver son indépendance et son autonomie pour gérer sa vie : sa vitalité, sa santé, ses relations, son équilibre.
Et, en tant que Néopaïenne, ma mission est de réveiller, en tout un chacun, l’esprit païen qui sommeille, enfoui en lui, sali et relégué dans les profondeurs de son inconscient ancestral, l’instinct naturel de tout fils et toute fille de la Terre, du Soleil et de la Lune.
J’écris cet article avec l’intention d’œuvrer pour cette mission. Je vous livre cet article comme une graine que l’on sème et qui, je le souhaite, germera en votre âme et portera ses fruits dans votre vie et pour la nature.
Que ressuscite le grand Pan !
IX. VOTRE MISSION
Dans cette guerre contre la nature, je me sens parfois seule du côté de la nature, d’un mode de vie au plus près du naturel, mais j’espère, la vie trouvant toujours un chemin, que les rangs de la nature grossiront encore et encore et que, bientôt, nous pourrons faire cesser cette folie contre-nature.
Alors, vous qui lisez cet article, prenez position maintenant. Quelles sont vos valeurs ? Qu’est-ce qui est important pour vous ? Quel mode de vie défendez-vous ? Entrez en vous, écoutez-vous, et rejoignez, en toute connaissance de cause et en votre âme et conscience, votre camp.
Si vous vous sentez appelé par la nature, par un mode de vie naturel, si vous préférez vous réveiller le matin avec le soleil et non pas avec le cri strident et oppressant du réveil qui casse votre biorythme et vous déséquilibre, si vous souhaitez consommer des produits non transformés, naturels, sains, enrôlez-vous du côté de la nature !
Si vous aimez recevoir votre famille autour de dîners, si vous aimez retrouver vos amis pour faire la fête, danser, chanter, trinquer, soyez fidèles aux Païens qui sommeillent en vous, et rejoignez les rangs de la nature !
Devenez les guerriers pacifiques de ce qui vous tient à cœur, et battez-vous pour votre mode de vie !
« Nous sommes en guerre », a-t-on entendu – de très nombreuses fois. Alors entrez – pacifiquement - en guerre. En d’autres termes, posez dès à présent une intention, engagez votre être et prenez position : souhaitez-vous voir la nature s’éteindre bel et bien autour de vous et en vous-même ? ou souhaitez vous la voir s'épanouir ?
Agaberte * Patricia Bourrillon
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